[1]
F. Grenaudier-Klijn, “L’objet-valise chez Patrick Modiano: une réticente nostalgie – «Villa triste », «Chien de printemps» et «Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier»”, LIT, vol. 59, no. 4, pp. 50–63, Jan. 2018, doi: 10.15388/Litera.2017.4.11225.