L’article traite la question du mécanisme de la subduction des verbes aptes à former des constructions grammaticales avec l’infinitif. La diversité de la matière lexique des verbes disposés à remplir la fonction d’auxiliarité laissent présumer qu’en surplus de la subductivité il faudrait prendre en considération la signification lexicale du verbe ainsi que les exigeances de la langue française contemporaine en ce qui concerne les moyens lexico-syntaxiques de l’expression de l’aspect verbal.